Et elles vécurent heureuses en interview

MORGANE LAS DIT PEISSON : PARTENAIRES ET AMIES…

VANESSA FERY : Je suis le point commun entre nous trois… J’ai joué avec Leslie dans une pièce d’Alil Vardar, j’ai connu Marie-Cécile en faisant des vidéos pour Aufeminin.com et quand, avec Manu de Arriba et Anne de Kinkelin, on a écrit Et elles vécurent heureuses, ça a été une évidence pour moi de leur proposer ces deux rôles…

MARIE-CÉCILE SAUTREAU : Cette pièce est une belle aventure de potes ! On habite à peu près tous à 500 mètres les uns des autres, ce qui peut s’avérer aussi pratique que traître surtout si on se fait des réunions de travail vers 19h… (rires)

L’IDÉE DE CETTE PIÈCE…

VANESSA : J’ai toujours eu envie d’écrire une pièce sur les femmes et ça s’est accentué quand j’ai rencontré mes « grandes soeurs » dans le métier, les filles d’Arrête de pleurer Pénélope… J’ai tout de suite aimé leur façon de faire la part belle aux femmes sans pour autant taper sur les hommes, sans les exclure et en réussissant à les faire rire !

DES FEMMES TRÈS DIFFÉRENTES…

MARIE-CÉCILE : Si le hasard ne les avait pas réunies dans la salle d’attente d’un médecin, ces trois là ne se seraient jamais rencontrées et c’est ça qui offre la possibilité, au théâtre, de partir dans tous les sens tout en restant dans un huis clos…

3 DESTINS ET 3 ÉTAPES…

VANESSA : À travers leurs histoires, on aborde les principales peurs de la vie d’une femme : l’engagement, la maternité et la solitude…

© Propos recueillis par Morgane Las Dit Peisson au festival Rire en Vignes de Taradeau • Photos droits réservés

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Interview parue dans les éditions n°406 #1, #2, #3 et #4 Septembre 2019